Si vous regardez des écrans ou réalisez une tâche en vision rapprochée pendant plus de deux heures par jour, vous pouvez souffrir de ce qui s’appelle la fatigue oculaire numérique.
Pour savoir si vous êtes concerné, il suffit de vérifier si un des symptômes ci-dessous s’applique à vous. Car la plupart d’entre nous n’en a jamais entendu parler et l’attribue à une autre cause.
Maux de tête
Vous avez des maux de tête frontaux ou autour des yeux, c’est un signe que vos muscles crâniens sont fatigués à force de regarder trop longtemps un appareil digital.
Yeux qui tirent
La fatigue oculaire est un symptôme commun qui affecte en particulier les personnes travaillant dans les bureaux. Si vos yeux sont douloureux ou tirent, c’est un signe qu’il est possible que vous les fassiez trop travailler en fixant un appareil digital durant une longue période.
Fatigue musculaire
Vous sentez vos yeux se fermer car trop fatigués à la fin de la journée ? C’est peut-être un message de votre corps pour dire que vos yeux ont trop travaillé. Quand vos yeux sont fermés, il n’y a rien à regarder, donc les muscles crâniens ont le temps de se détendre. C’est aussi le cas de vos muscles cervicaux et dorsaux.
Vision floue
Cela se produit lorsque les muscles oculaires sont tellement habitués à se concentrer sur un appareil numérique en vision rapprochée qu’ils ne peuvent pas se détendre quand vous regardez ailleurs. Le résultat est une vision fluctuante pendant la journée.
Photosensibilité
Les muscles que nous utilisons pour faire la mise au point sont à côté de ceux contrôlant le diamètre de nos pupilles. Quand la lumière pénètre dans nos yeux, surtout la nuit, et que les pupilles se contractent, cela peut causer de la sensibilité
Yeux secs
Quand nous promenons notre regard, nous clignons en moyenne 20 fois par minute. Quand nous lisons un papier cela chute à 15. En regardant un écran d’ordinateur, c'est 10 fois, et un écran de smartphone ou tablette 6-8 fois c’est encore plus bas, ce qui rend les yeux secs.
Irritation oculaire
Vous frottez souvent vos yeux ? Cela peut être parce que les muscles oculaires sont tendus de trop travailler. Cela peut causer une irritation et une sensation de démangeaison, c’est pourquoi vous voulez les masser.
Concentration réduite
Si vous avez du mal à vous concentrer sur des tâches en vision rapprochée, cela peut être à cause de la fatigue oculaire numérique. Comme la plupart des symptômes sont inconfortables, cela vous distrait inconsciemment.
Vos yeux ne sont pas faits pour les écrans, les verres Sync III le sont.
HOYA a mis au point ses verres Sync III, avec une zone de support accommodatif en bas du verre, pour soulager les yeux soumis à une forte exposition aux appareils digitaux ou ayant une activité soutenue en vision rapprochée. Cette conception assure au porteur une fin de journée plus confortable. Le verre Sync III a été créé pour aider les porteurs de tous âges à s’adapter aux nouvelles sollicitations visuelles, mais principalement à l’intention des adolescents et des jeunes adultes qui utilisent constamment ces nouvelles technologies. Il devient un standard de confort sur les verres unifocaux, d'autant plus performant lorsqu'il est doté de la technologie BlueControl anti-lumière bleue.
Les verres Sync III sont conçus pour un usage quotidien et proposent un choix de trois puissances de support accommodatif sur la partie inférieure du verre, optimisées pour les exigences visuelles des porteurs d’aujourd’hui. Votre opticien définira le produit optimal selon vos besoins. La puissance est plus positive dans la zone de renfort pour permettre aux muscles des yeux de se mettre au repos et d’accommoder plus facilement. La fatigue oculaire est soulagée et le confort visuel réel, pendant les activités digitales ou celles sollicitant la vision de près. Toute personne de 16 à 45 ans passant deux heures ou plus par jour, sur les écrans ou travaillant en vision de près peut bénéficier du pouvoir relaxant de Sync III.
1CaptainCook Research. Digital behaviour and digital eye strain. Hoya, April 2017, the Netherlands and USA
2Ang C., Dinevski D., Vlasak N., Kok A. Taking the strain. Optician. 05/2017, vol. 253, no. 6600, p. 25-28.